Un surnom… ça se prend et ça se quitte… Margherita a quitté Maggy, dans le respect de ses origines, pour revenir au prénom donné par ses parents.

ROSSO TERRA et BACOCHI

 » Une voix nouvelle vient de faire son apparition dans le paysage nantais l’italienne Maggy Oscuro.
Un pied en Italie, un pied en France, entre jazz et tradition chantée… A l’image de son Italie natale, Maggy pose sa voix douce et légère comme un soleil matinal de Toscane « .
D. Morvan. Ouest France

 » Elle a enthousiasmé le public par sa voix chaude et pure, par la passion qu’elle sait dégager d’un simple mouvement d ‘épaule… Elle a aussi séduit les connaisseurs par un talent tellement italien, à la fois sûr et fragile, c’est à dire humain… »
François Michel François, Presse Océan

Elle arpente la scène, large sourire aux lèvres. Elle tourne sur elle-même, écarte les bras, secoue son épaisse chevelure, va s’asseoir derrière des congas le temps d’un chorus de piano ou de trompette, se relève, s’approche du public lui fait un numéro de charme avant de l’entraîner dans un refrain hommage à Caruso. Elle n’arrête pas une seconde, enchaîne chanson sur chanson pendant une heure de spectacle dont on sort plus essoufflé qu’elle.

Maggy OSCURO bouscule tout sur son passage. Ses musiciens sont aspirés dans son sillage et nous on a l’impression de prendre un coup de vent frais en pleine figure. Son énergie décoiffante, sa voix claire et puissante force l’adhésion et ne laisse pas le temps de penser à prendre la moindre velléité de recul sur le répertoire à l’Italienne qui a pourtant si vite fait de tomber dans le sirupeux grandiloquent. Maggy Oscuro chante tout à fond au premier degré, mais avec au fond des yeux ce rire qui ne demande qu’à éclater et tient définitivement à l’écart tout risque de ringardise.  »
T. Mallevaës. Ouest France

« Maggy Oscuro est revenue sur scène pour ouvrir le festival
« Terra Incognita » Avec ses cinq musiciens elle a joué, chanté, dansé son dernier spectacle « Rosso Terra » ou la terre rouge des Pouilles, autrement dit celle de ses racines. Ce fut une fusion entre tarantelle et jazz, entre l’Italie, l’Afrique et l’Orient (…)
Maggy chante la différence entre sud et Nord, la pauvreté et l’opulence, l’exclusion des étrangers,
des incompris, des déracinés. Elle chante l’amour, ses échecs, ses rencontres, ses bonheurs,
le simple plaisir de chanter.
Vendredi soir chacun a pu apprécier la somptuosité de ses pas de danse, leur précision, leur évocation. Chacun a apprécié sa voix et ses compositions, Maggy écrit ses textes et ses musiques.
Sur la scène elle va de la tristesse à la joie, de la douleur à l’exubérance, de l’amour à la folie ; elle joue la vie qui lui va si bien dans sa simplicité et ses difficultés, celle qui se ressent avec le cœur.Après son tour de chant, au hasard d’une discussion subitement elle dit naturellement: «Le clonage,
mais il existe depuis longtemps. Il est dans les têtes ». Maggy est souvent ainsi, juste et naturelle, sur la scène et en dehors de la scène.
Ce n’est rien de dire qu’elle sait être attachante par sa spontanéité et son talent »
Michel François. Presse Océan